Maître Sarah LAGHA met un point d’honneur à fixer ses honoraires en toute transparence. Elle vous informe sur les moindres critères pris en compte dans le calcul de sa rémunération. Plusieurs critères sont considérés, dont la spécialisation et l’expérience de l’avocat, la nature et la complexité de l’affaire, ainsi que les enjeux ou l’urgence qu’elle représente. La situation économique du client est également un facteur qui entre en jeu.
Cette convention implique que l’avocat sera facturé en fonction du temps qu’elle a consacré à la prise en charge de votre dossier. Un tarif honoraire est d’abord convenu et il sera multiplié par le nombre d’heures qu’elle a passée au traitement de votre affaire lors de sa clôture.
Dans ce contexte, la rémunération est fixée pour une prestation précise. Si votre dossier nécessite une intervention supplémentaire, une nouvelle rémunération est définie entre les deux parties. Ce type de convention convient pour les affaires standards comme le divorce par exemple.
La loi interdit de rémunérer l’avocat uniquement en cas de résultat concluant. Cependant, les 2 parties peuvent convenir une rémunération au résultat en plus d’un honoraire de base. L’avocat perçoit alors ce dernier et bénéficie d’un pourcentage supplémentaire si son intervention a été fructueuse.
L'aide juridictionnelle est une aide partielle ou totale accordée par l’État, en vue de payer les frais de justice (huissier, avocat, etc.) de certains justiciables. Vous pourrez en bénéficier si vous répondez à ces 3 critères :
Vos ressources financières sont inférieures à un plafond.
Vous envisagez une action en justice non dénuée de fondement ou irrecevable.
Vous n’avez pas souscrit une assurance de protection juridique couvrant les frais.